| folia26 | | le cheval est la + noble conquete | | Administrateur |  | | 474 messages postés |
|  Posté le 15-06-2005 à 17:29:04   
| NON AU CALVAIRE DES CHEVAUX !!
De Lituanie en Italie, il y a 2 500km. Par la route, le voyage dure environ 93h. C'est long, et si tu devais faire un tel périple en bus ou en voiture, tu ne manquerais pas de demander aux chauffeurs des pauses pour boire, manger et te reposer. Les chevaux, eux, n'ont pas la parole, et cela en arrange bien plus d'un, qui les transporte ainsi sur de longues distances, sans boire ni manger, serrés les uns contre les autres au point de piétiner celui qui n'aura pas eu la force de se tenir debout. Et tout cela arrive pour aller où ? A la boucherie ! Oui, chaque année, environ 100 000 chevaux, victimes des hippophages, doivent, avant de finir dans leurs assiettes, subir un véritable calvaire.
L'association PMAF (Protection Mondiale des Animaux de la Ferme)se bat contre ces transports illégaux. Car une loi européenne existe. Elle réglemente les temps de transports, impose des pauses pour faire boire les animaux, etc. Hélas, les contrôle de gendarmerie sont rares et les amendes minimes. Les transporteurs le savent et bien peu font des efforts.
Que ces chevaux soient mangés est déjà assez révoltant. Qu'ils souffrent pendant leur transport vers la mort est intolérable ! Cheval Magazine et Cheval Star t'inviteent à signer une pétition afin d'obtenir l'interdiction des transports de longues durées pour les chevaux de la boucherie. L'association PMAF s'associe à ces magazines pour demander que les temps de transports soient limités à 8h et que les chevaux soient séparés pour éviter les piétinements. La pétition sera remise au ministre de l'Agriculture.
STOP A L'HIPPOPHAGIE !
Hélas beaucoup de personnes ne pensent pas comme nous. Chaque jour, 850 chevaux sont mangés en France. Cela fait 310 250 chevaux mangés apr an. Un chiffre énorme qui fait froid dans le dos.
Pourtant les chevaux sont aujourd'hui des animaux de compagnie comme les chiens et les chats. Propose donc à un hippophage de manger son chat ou son chien, tu verras son air horrifié ! Eh bien, ne devrait-il pas voir toute l'horreur de manger un animal aussi extraordinaire que le cheval ?!
Mais c'est là un débat moral. Qui parmi les hippophages se soucie de savoir que les animaux souffrent pendant les tranports vers l'abbatoir ? Qu'ils sont entassés dans les camions, qu'ils ont faim et qu'ils ont soif ? Que certain sont bléssés et non soignés ? A quoi bon, puisque l'essentiel c'est que l'animal arrive vivant à l'abbatoir, bléssé ou pas.
Eh oui, pour que les hommes puissent manger de la viande, il faut que les animaux soient vidés de leur sang. Et le sang s'écoule mieux d'un animal encore vivant. Une loi oblige les abbatoirs à "étourdir" les animaux avant de les égorgér, mais les méthodes ne sont pas infaillibles. Et alors ? Les hippophages se soucient-ils de savoir si le cheval est étourdi correctement avant d'être égorgé, s'il ne se réveille pas pendant l'égorgement ? Non certainement pas. Des humains qui, pour certains, s'apparentent à des monstres. Car parmi les hippophages, on le sait, il y a aussi des cavaliers. Même pire, il y a des propriétaires qui se débarrassent de leurs vieux chevaux en les envoyant à la boucherie. A ces gens qui n'ont rien compris aux chevaux, nous disons " NON, UN CHEVAL CA NE SE MANGE PAS !!! "
STOP A L'HIPPOPHAGIE ! (suite)
Depuis le mois de janvier et encore pendant tout le mois de février, l'Association Ethique du Cheval (AEC) distribue gratuitement des autocollants contre l'Hippophagie. Cette association se bat depuis des années pour que les hommes arrêtent de manger de la viande de cheval. Et pour nous, cavalier ou cavalière, c'est clair, " UN CHEVAL CA NE SE MANGE PAS ".
Viande dangereuse :
Mais peut-être se soucient-ils de leur santé ? Eh oui, voilà un argument de poids contre l'Hippophagie : manger du cheval pourrai être dangereux pour la santé.
Actuellement, les contrôles vétérinaires sont très sérieux en France, mais il existe une maladie qui n'est pas éradiquée dans le monde, c'est la trichinellose, une maladie due à des parasites, les larves de trichine. Entre 1976 et 1998, la consommation de viande de cheval crue ou peu cuite a été responsable de huit épidémies de trichinellose en France. En 1998, une centaine de personnes avaient été touchées. Cette maladie peut laisser des séquelles à vie et, dans 5% des cas, elle peut être mortelle. En 1999 et 2001, deux chevaux importés de pays de l'Europe de l'Est ont été bloqués à la frontière française. Ils étaient porteurs de la trichinellose. En Italie, également, des chevaux ont été bloqués à la même période, pourtant il y a eu des cas de trichinellose chez les humains.
ARRETONS LE MASSACRE !
Les accords de Bruxelles réglementent les transports des bêtes. Mais personne ne les respecte.
Cachés dans les convois de la honte qui alimentent les noucheries européennes, des reporters peuvent maintenant témoigner.
Le journal de TF1 a diffuser leurs images. Il est gra,d temps que l'UE sorte de sa léthargie coupable...
"Les chevaux sont épuisés. De mauvaise grâce, ils se laissent tirer par la bride hord des camions qui arrivent de Lituanie et viennent faire étape dans ce centre vétérinaire aux confins de la frontière polono-tchèque. Certains boitent, d'autres souffrent de lésions internes et blessures, d'autres encore sont prostrés sur les genoux de leurs jambes antérieures, saignent des naseaux et des flancs, résultat des cahots de la route et des chocs contre les parois et les barreaux du véhicule. Ils boivent avidement l'eau dont ils ont été privés trop longtemps. Les 21 bêtes roulent depuis plus de 20h et ils en ont encore pour....3 jours, destination : Cagliari, en Sardaigne, soit un calvaire de plus de 3000km à travers 7 pays européens de la Baltique à l'Italie et avec l'abbatoir en fin de parcours. Même destination et même parcours d'enfer pour le second véhicule qui vient de se ranger le long d'une façade d'un gris sale du centre vétérinaire de Zebrzydowice. Il vient du nord de la Pologne et son équipage ne prend même pas la peine de décharger les bêtes et de les abbreuver. D'ailleurs, tant le vétérinaire polonais que son collègue tchèque se contente d'un bref regard à travers les barreaux du bahut, avant d'accorder la permission aux transporteurs de poursuivre leur route.
Toutes proportions gardées, les conditions de transport sont pires encore chez les polonais, dont le camions vibre et tremble des coups de sabots et des déplacements erratiques des 26 chevaux qui y sont entassés sur un espace réduit. Si réduit, qu'au moindre choc, les bêtes se donnent mutuellement des bourrades dans les côtes, malgré les brides de grosse corde qui les retiennent à la paroi du véhicule, mais leurs écorchent les yeux et naseaux à la moindre tensions. Le stress et la douleur rendent les animaux agressifs. Certains s'agitent dans tous les sens, mordent leurs voisin, essaient de se cabrer, malgré l'exiguïté de leur enclos. Un cheval bai glisse sur le sol recouvert d'une mince couche de paille et atterrit entre les sabots nerveux de ses voisins. Position dont l'un des convoyeurs vient l'extraire en tirant brutalement sur sa corde, pour ne pas courir le risque de le retrouver à l'état de cadavre à son arrivée dans le port méridional du Bari. Les convois polonais et lituaniens ne sont pas les seuls à sillonner cette route de la mort. Ils sont des milliers à faire la navette entre l'Europe orientale et méridionale, pour combler l'appétit des Belges, des Français et des Italiens en viande de cheval et ce sont quelques 100 000 équidés qui sont ainsi véhiculés pour être équarris dans les abbatoirs de Bologne, Milan, Cagliari et Bari, parfois Palerme et Bordeaux. Une affaire juteuse tant pour les expéditeurs que pour les industriels de la viande, les supermarchés et les restaurants, dans la mesure où les marges bénéficiaires dans ce domaine sont énormes. Si les paysans et les kolkozes d'Europe de l'Est se satisfont déjà d'une centaine de marks(350F), les revendeurs se sucrent avec d'autant moins de honte que la viande de chevam fraîche, riche en proteines, et surtout celle des poulains, très prisée en France et en Italie. Le kilo y avoisine les 420FB (70F) dans les supermarchés et le steak peut atteindre le double dans un restaurant.
Blessés par les cahots de la route, marchands ou transporteurs, peu se soucient en réalité de la fragilité du cheval, qui a besoin de 60L d'eau par jour en période de canicule et supporte encore moins que les bovidés, les longs transports par route.
Une totale indifférence qu'illustre, en l'occurence, la maltraitance généralisé, l'insuffisance des plages de repos et l'absence d'une surveillance vétérinaire digne de ce nom. Que des milliers d'équidés soient bléssés ou même meurent en route laisse des maquinions parfaitement de marbre, dans la mesure où une certaine part de "déchets" est incluse dans le prix de revient. La plaque tournante de ce commerce est la ville de Zebrzydowice.
Par le parking du centre vétérinaire de la localité transitent environ 600 camions par mois, dont la moitié concerne le transport de chevaux. Soit quelques 7 000 bêtes, dont les deux tiers en provenance des stalles polonaises, qui passent ainsi par ce noeud routier et gagnent les abbattoirs du sud de l'Europe. Les chevaux destinés à l'abbattoir ont droit à un repris de 24h pour être nourris, soignés et se coucher sur la paille, indépendamment des deux haltes d'une heure chacune également prévues entre les étapes. Telles sont du moins les directives de Bruxelles auxquelles doivent soumettre les convoyeurs d'animaux, qu'ils viennent de l'extérieur de la communauté européenne ou y circule. Les pauvres bêtes ont déjà réintégrés leur bahut après 3h à peine, avec la bénédiction du service vétérinaire local, qui a apposé son cachet de conformité sur la feuille de route, confirmant "l'excellent état d'hygiène et de confort dans lequel voyagent les animaux", conformément à la législation en vigueur. C'est ensuite la course jusqu'au relais suivant qui est atteint au terme de la deuxième journée. Lorsque en fin d'après-midi Redics et la frontière slovène sont en vue, les bêtes ont sombrés dans l'apathie, et laissent pendre lamentablement la tête. Ici non plus, pas le moindre centre de soins digne de ce nom. Les chevaux sont si faibles que certains gisent sur le sol.
Mais comme dan cette position, les bêtes peuvent pourrir si elles y restent trop longtemps, le convoyeur lutte comme un forcené pour les ramené brutalement à la position verticale, tandis qu'un aide bourre le pauvre animal de coups de fourche dans le flanc, lui, le pousse à se rétablir en le bombardant d'électrochocs. Des scènes pareilles, chevaux maltraités, jambes brisées par les armatures du camions, étranglés par des bride trop sérrées ou piétinés par les sabots de leurs congénères sont fréquents....C'est dans un état d'abrutissement et de fatigue avancée qu'ils arriveront après 4 jours et 5 nuits de souffrance, à l'abbatoir de Cagliari, l'un l'oeil crevé, l'autre une jambe cassée et un hongre a des plaies suppurantes à l'arrière train. Un calvaire de 3 000km, qui dans quelques heures va prendre fin par un coup de marteau ayant pour but d'étourdir le cheval avant qu'il ne soit saigné et dépecé.
UN CHEVAL CA NE SE MANGE PAS !
Un cheval ça ne mange pas !
Chaque jour, 850 chevaux sont victimes de l'Hippophagie en France, soit 310 250 par an (350 000 en Italie, 150 000 en Belgique, 80 000 en Hollande)...Il faut agir !!!
Est-ce une façon de remercier le cheval qui a partagé notre travail et notre folie guerrière durant des siècle ?
L'HORRIBLE TRAJET QUE SUBIT LE CHEVAL DE CHEZ LUI A VOTRE ASSIETTE !!
Les chevaux viennent de parcourir quelques milliers de kilomètres. Cela fait plus de 20h qu'ils roulent, entassés dans l'espace le plus réduit que l'on puisse imaginer. Si réduit qu'il sufit d'un coup de frein un peu brusque pour que les bêtes se retrouvent plaquées contre les parois du camion , malgré les grosses cordes qui les retiennent, leurs brûlant les flancs au moindre choc.
La plupart des animaux sont bléssés, souffrent d'infections, de déshydratation, de la faim et n'ont plus assez de forces pour se tenir debout. Un poney allongé sur le sol est vite relevé par le convoyeur à coup de baton, ne souhaitant pas arriver à destination avec un cadavre. Ce calvaire va encore durer quelques jours, jusqu'à ce que le véhicule rejoigne les abbattoirs sordides, où les chevaux seront....abattus.
Normalement, les chevaux destinés à l'abbatage doivent disposer d'un espace minimum de 1m75 par bête dans le camion. Ils ont droit à un répit de 24h afin d'être nourris et abreuvés, ainsi que deux haltes d'une heure entre les étapes....en théorie, bien sûr, car peut de ces normes sont respectées.
Une fois arrivé aux abbattoirs, le cheval est installé dans des stalles (si on peut appeler cela comme ça), où les pauvres bêtes n'ont pas plus la place de se tourner que dans le camion.
L'heure fatidique arrive enfin, presque un soulagement après les souffrances que le cheval a enduré.
Pour être rendu propre à la consommation humaine, les animaux doivent être vidés de leur sang. Mais un animal mort ne perdant que très peu de sang, ces derniers sont obligés d'être saignés vivants et de décéder de la perte de leur sang. Mais heureusement, la plupart des pays ont voté une loi interdisant cette pratique, rendant donc obligatoire l'étourdissement préalable des animaux. Mais ces méthodes ne sont pas toujours fiables, car il arrive que l'animal se réveille pendant l'égorgement.
LES DANGERS DE LA CONSOMMATION DE LA VIANDE DE CHEVAL !
La majeure partie des importations de viande de cheval provient des pays de l'Est ; elle n'a pas forcément usbi un contrôle vétérinaire avant d'arriver dans nos boucheries, et est souvent de piètre qualité.
On trouve dedans :
-des antibiotiques, qui sont normalement destinés à traiter des infections, mais souvent distribués à ce titre préventif dans les élevages. Ce phénomène a pour effet de rendre ces traitements innéficasses à terme, sur les animaux....et les humains.
-des insecticides, comme le lindane, produit cancérigène pour l'homme, qui sert à l'antiparasitage des chevaux. Ce produit très toxique se stocke dans l'appareil digestif du cheval et quand vous consommez du cheval, il s'accumule aussi dans vos organes, en particulier le foie.
-des parasites comme le trichinella spiralis. La trichinellose est provoquée par l'indigestion de viande non traitée contenant ce parasite. Après la consommation de cette viande infestée, les larves éclosent dans le tube digestif du consommateur et gagnent les muscles qui s'enkistent, ce qui provoque une fièvre élevée. La trichinellose est mortelle dans 5% des cas. On compte 5 décès depuis 1975 mais beaucoup de patients souffrent aujourd'hui de séquelles neurologiques et musculaires.
Après ça, avez-vous toujours envie de manger du cheval ?
PS : Je sais que c'est très long mais sa vaut vraiement la peine d'être lu !!
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folia26!
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